Une histoire de Sang

a Samaël: les hommes se mettent a rire en t'entendant dire ca mais tu décele une par de doute dans leur regard certainement ta voix calme et posée

A bon un agent du gouvernement ? rires pourtant tu ressembles drôlement a un gamin comment tu l'expliques et tu sais les gens louchent il y en a partout ici regarde toi par exemple.

Cette remarque désobligeante te donne envie de lui fracasser sa tete contre le mur de faillance blanc derrière lui. Mais tu sais que ton sire n'apprecerais pas tu es de la camarilla et tu dois la protéger

D'une voie hautaine et menaçante: "Bien puisque vous le prenez ainsi, je vais être obligé de vous demander qu'est ce que vous faîtes ici à une heure pareille"

*leur mettre leur faute en face des yeux sera le meilleur moyen de les destabiliser.*

"Et au niveau de mon apparence juvénile, c'est fait exprés , c'est pour cette raison que je suis dans les forces spéciales, qui se méfirait d'un enfant ? J'entends et vois bien plus de chose que si j'avais le physique d'un adulte."

*Et une petite réplique pour leur casser leur argument, ça va finir de les achever.*

A Samael: Les hommes semblent être totalement absourdi par ce que tu est entrain de leur raconter et finalement l'un d'eux ce decide à parler

Mais euh qu'es-ce que tu veux ?

Kemper se dirigea lentement vers le Toréador en regardant autour, puis il regarda lui aussi par les fenêtres.

"Rebonsoir, Semblable. Alors, du nouveau ? "

Je pris la parole d'un air décidé à avoir des réponses, et vite. Posément d'un ton sévère: "Voyez vous je suis à la recherche d'un dangeureu criminel accusé de plusieur meurtre, d'après mes sources ça lui arrive de trainer dans le coin mais bizarrement seulement la nuit...
On le surnomme : Julius. "

A Samael: Tu remarques rapidement que les hommes connaissent Julius, par le regard qu'ils ont fait quand tu as prononcé son nom. Le plus assuré te repond

Non mais c'est quoi ces questions vous avez un mandat quelque chose on a meme pas vu votre plaque. Je veux qu'on me prouve que c'est pas juste un gamin qui s'amuse

Je fumais tranquillement une cigarette sur le capot de ma 206, tout en regardant par les grandes baies vitrées qui permettaient de voir les gens se balader dans les couloirs, les chambres disposées de fenetres individuelles plus petites par laquel on ne pouvait rien voir de là. Quand je fut arracher à mes pensées par un homme famillier, je le reconnus immédiatement

A salut, non rien de nouveau je repensé juste a un ami, William Sigheim c'est un docteur de Dourmons avec qui j'en est vu de belle.


Je repartais quelques secondes dans le vide avant de me reprendre

Au fait je suis Snake.

Je tendais la main en direction de mon interlocuteur

Alors on dirait bien qu'on va refaire équipe, je me demande bien comment on va pouvoir récuperer une fiole de sang sans se faire remarquer.

Je regardais ma montre car je sentais en moi la sensation du jour qui ne vas par tarder a ce lever

Attend mec le soleil va se lever d'ici environs une heure, on aura pas le temps, on a cas se retrouvé ici demain a 22h00. Mais sinon tu veux que je te dépose ?

Si mon maître m'a appris une chose c'est bien à mentir et à convaincre les gens malgrès mon apparence:
"Mais vous êtes trop con ma parole, je suis en infiltration vous pensez que je vais me balader avec un mandat ou une carte qui prouve mon métier sur moi ? Comme ça si je me fais fouiller tout est foutu ?"

D'un ton sans équivoque , sans porte de sortie, du genre tu me réponds ou tu meurts :
"Maintenant assez plaisanté, vous me dites imédiatement où je peux trouver Julius"
(j'utilise 1pts de volonté pour réussir avoir une reponce à la question, je vais l'enlever sur ma fiche)

A Samael: l'homme le moins assuré des deux ce met enfin a parler

D'accord, d'accord c'est un client à nous il nous achete beaucoup de viande et de sang. On en vend parfois pour faire des sauces mais c'est vrai que ici on vend beaucoup de sang, j'ignore vraiment pourquoi et je ne veux pas le savoir. Mr Julius Klith venait souvent avant mais maintenant on le livre à cette adresse.

L'homme te donne un papier où il y a écrit le nom de Julius Klith et une adresse qui se situe dans le nord de la ville. Tu te sens satisfait tu penses savoir où le trouver mais tu sais que tu ne peux pas agir sans ce putain de livre et sans le sang de l'hosto. Quand l'homme reprend la parole

On peut y aller maintenant ?

"tu me sembles assez intelligent pour m'avoir dis la vérité, merci pour ces réponses plus que suffisantes, vous pouvez retourner à votre pitoyable travail" je finissais ma phrase sur un ton des plus hautin.

*Bon maintenant que faire ? Allez à l'hosto récupérè le sang, voir Julius ou essayer de trouver le livre ?*
Si j'ai Julius il me mènera au livre c'est certain, je vais peut-être commencer par ça*

A Samael: Tu ressors tout content de l'abattoir tu sais que ton maitre sera fier de toi d'avoir fait avancer l'enquete comme ca, soudain tu ressens en toi le soleil qui ne va pas tarder à ce lever tu vas devoir rentrer

*Commence à ce lever je crois, fait chier ce putin de soleil*

J'ai assez de réponse pour le moment, ayant bien travaillé, je rentrai chez mon maître content de moi.
Je marchais un moment tout seul dans la nuit, sentir son obscurité peser sur tout mon corps, quel bonheur !

"Bon matin mon maître. Des nouvelles tout ce qui a de plus réjouissant. J'ai l'adresse de Julius ..."

Je voyez mon maître me regarder interogateur,

"Sans une goute de sang"
Puis je rajoutais: "Demain , j'irai lui rendre visite pour savoir où puis je trouver son livre, dites pourriez vous m'accompagner cette foi ci ?? J'aime telement quand nous sommes ensemble, c'est toujours un déchirement de vous quittez mon maître. En plus comme ça vous pourrez m'enseigner au mieux ..."

A Samael: Allez voir ce julius ? je croyais que le prince t'avais demander de ne pas y toucher, avant d'avoir eu le livre ?

Ton maitre te gifles et te dis d'un ton sévere

Ne commence pas à faire du zele mon infant, nous sommes sur le fil du rasoir avec le prince, tu feras ce qu'il te demande et aprés nous verrons, me suis-je bien fait comprendre ? Et oui j'irais avec toi je veux que tu montres de quoi tu es capable...

Mais yeux se perlaient de sang, de grosse larme en dégoulinaient.
Nos liens du sang et mon jeune age faisant effet.
"oh non maître ne soyez pas dur comme ça avec moi, je vous aimes tant"

Le Trémère lui tendait lui aussi sa main, une grosse main poilue aux ongles sales.

"Kemper. Oui, il faudra bien qu'on s'entraide si on souhaite résoudre cette affaire au plus vite, je n'ai pas que ça à faire de résoudre des problèmes de progéniture et je suppose que toi non plus.

C'est gentil de proposer : si tu pouvais m'amener à la Fondation, ça m'arrangerait. 22 heures, ici, demain soir, c'est noté. "

Il lui indiquait alors le chemin vers son lieu de repos.

j'étais là debout prés de la fenêtre entrain d'appuyé sur l'interrupteur pour faire remonté le gros volet mécanique qui couvre ma large baie vitrée, puis j'allais sur la terrasse, écoutant de l'électro en musique de fond, j'allumais une cigarette, en réfléchissant à toute cette affaire quand soudain on sonna à la porte, je rerentré rapidement pour ouvrir la porte. Il s'agissait d'alexandra une belle blonde, plutôt petite, mince aux yeux plus bleus que la mer, avec des lèvres magnifiques qui brillaient fortement sous l'effet d'un gloss

Tiens alexandra que fais-tu là ma belle ? tu sais bien que c'est dangereux comme endroit ici

Je résidais dans le sud de la Plagne, dans un des quartiers les plus dangereux enfin cela avait tout de même des avantages, non seulement pour mes affaires qui marchait du tonnerre ici et pour mon appartement, j'avais acheter ce grand appartement, avec terrasse et vue sur la mer pour une bouché de pain vu le quartier dans lequel il était situé. Enfin pour en revenir à alexandra elle me répondit qu'elle le savait et que d’ailleurs les jeunes en bas lui avait bien faire remarqué au moment où elle se garait heureusement elle leurs avait dit qu'elle venait me voir

Tu as bien fait, comme ça ils ne toucheront pas à ta voiture ne t’inquiète pas.

Elle voulait que je l’amène danser un dj très connu faisait une apparition aux 12 et elle voulait y aller mais ayant rendez-vous avec le trèmere je ne pouvais que refuser a son visage je vis sa déception et son inquiétude

Ne t'en fais pas Alex il s'agit d'un rendez-vous professionnel rien d'autre c'est promis.

Son visage se détenda un peu mais pas complétement au fond elle était jalouse et consciente qu'elle n'était pas la seule mais elle faisait semblant de l'ignorer, elle jouait sa propre mascarade, finalement je l'embrassa avant de la laisser repartir seul et pensive. Je jetais un coup d'oeil a mon portable pour voir l'heure.

*Merde, je suis a la bourre*

Je ramassais le desert eagle posé sur la table basse à la vue de tous et je me mis en route, un petit "salut" en passant aux jeunes qui trainaient comme toujours assis au bas de l'immeuble à fumer des joints puis je sauta dans ma 206 à fond la caisse en espérant arrivé a l'heure

Allongée dans mes draps de soie je sentais le soleil faiblir en moi et ma vitae s’excitée par mon réveil. Après quelques étirements réalisé plus par habitude que par réel nécessité je m'approchais de la fenêtre pour regarder quelques minutes le bétail déambuler dans les rues, après tout je n'étais morte que récemment mais pourtant j'avais la réelle impression de n'avoir jamais été en vie de toute évidence le mystérieux monde des créatures de la nuit restera à mes yeux bien plus compréhensible que le banal monde des humains, ce fut mon agenda électronique qui m'arracha à mes pensées me rappelant mon rendez vous avec le Prince. Je filais rapidement sous la douche, enfila un haut de chemisier bleu et un pantalon de tailleur noir surplombé par des bottines en cuir noir, me regarda dans la glace pour m'assurer que mon style avait l'air classe mais pas trop sévère non plus puis rassurée je me mis en route n'étant pas très loin je me décida à marcher un peu pour rejoindre l'Elyseum

Après 10 minutes de marche tu arrives à l'Elyseum, tu te poses quelques secondes pour regarder l'édifice, tu aimes ce bâtiment cette architecture si moderne te plait et l'aura de pouvoir que dégage l'Elyseum à tes yeux le rend encore plus beau.

Tu arrives face au videur qui suis du regards chacun de tes déhanchements, lorsque tu te trouves à son niveau tu le pousses délicatement avec un grand sourire sans un mot. Il te rend ton sourire en appuyant encore plus le sien. Tu te dirige seule vers le bureau du Prince en ventrue tu connais très bien les lieux tout en repensant au videur tu te dis que les humains sont si facilement manœuvrable.

En arrivant dans le bureau du prince, tu cherches par réflexe Roméo mais ne le trouve pas le prince est seul assis à son bureau, tu as rarement eu l'occasion de te trouver seule avec lui. Bien que cela soit rare tu dois bien reconnaitre que c'est une personne qui t'impressionne son calme et sa froideur ainsi que sa voix grave et posée force le respect.

Le prince te raconte l'histoire de Julius en détail, puis enchaine :

"J'avais demandé à Roméo de me trouver une équipe pour régler cette histoire mais ses choix me laissent perplexe: les Anarch, un Trèmere flamboyant, un Lasombra rallié à la cause de la camarilla, une nenette qui n'a visiblement pas les chevilles et un Toréador tellement brutal et rebelle que même son propre clan le rejette..."

Je me sentais irrémédiablement attiré par le Prince, cela ne venait pas forcement de son physique mais de son attitude, il semblait pouvoir obtenir la terre sur un plateau d'argent si l'envie lui prenais, je l'écoutais et le fixé du regard, un regard qui j'imagine devait être brulant de désir mais rien n'y faisait il restait de marbre. j'écoutais le prince me parler des autres vampires qui de toute évidence avait déjà une avance sur moi.

#Une équipe ? Des concurrents surtout#

"Effectivement sacrée équipe ! Un Toréador brutal comme c'est étonnant je pensais que les Toréadors étaient tous une bande d'humaniste ne pensant qu'à ce regarder dans un miroir..."

L'amour des Toréadors pour le bétail n'était à mes yeux qu'un signe de leur faiblesse après tout parmi les humains certains aiment beaucoup les animaux : des paysans... voila ce qu'était les Toréadors

J'étais heureuse de sortir de cet entrevue avec le prince bien que j'avais l'habitude de de ce genre de discours paternaliste je ne les appréciés pas pour autant. Je prenais quelques minutes tout en retournant chez moi pour reprendre cette histoire à zéro dans ma tête

#D'abord retrouver le sang faut pas que ça attire l'attention , ensuite choper l'ami et le faire parler du livre et de julius puis faire un ménage général#

J'arrivais finalement devant ma voiture une petite polo neuve, qu'il m'avait offerte avant mon départ.

#Bon en route pour l’hôpital#